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Et si les complotistes avaient eu raison ? La question choque, dérange, mais elle mérite désormais d’être posée. Car en 2025, quatre ans après le début de la vaccination massive contre la COVID-19, Pfizer a été contraint de publier une liste de centaines d’effets secondaires signalés dans le cadre de son suivi pharmacovigilant. Un document explosif, que d’aucuns voudraient reléguer au rang de « bruit statistique », mais qui suscite une onde de choc dans les cercles médicaux indépendants.
Thromboses, myocardites, paralysies, encéphalopathies, morts subites du nourrisson : tout y est. Et tout cela était connu, documenté, mais soigneusement dilué dans une communication technocratique inaccessible au grand public. Comment une telle avalanche d’effets indésirables a-t-elle pu être reléguée à la marge, au nom de l’urgence sanitaire ?
Une science à deux vitesses
Depuis le début de la pandémie, un clivage s’est opéré au sein de la communauté scientifique : d’un côté, les tenants d’une médecine sous contrôle institutionnel, obéissant à la ligne des agences de régulation, aux injonctions de l’OMS et aux intérêts croisés de la Big Pharma ; de l’autre, des voix dissidentes, souvent isolées, disqualifiées, voire radiées, pour avoir osé poser les bonnes questions au mauvais moment.
Le cas du Docteur Résimont, chirurgien évincé pour avoir exprimé publiquement ses doutes, en est une illustration saisissante. Ses interrogations – que l’on moquait hier – résonnent aujourd’hui avec une pertinence glaçante : « Un médicament qui tue plus que la maladie elle-même, a-t-il encore une légitimité ? »
Le mythe de l’immunité collective vaccinale
Le discours officiel avait tout d’un dogme : « Le vaccin protège contre la transmission », « Il évite les formes graves », « C’est notre seule issue ». Mais ces affirmations ont été progressivement rétropédalées. Non, le vaccin n’empêche pas les contaminations. Non, il ne garantit pas l’absence de formes graves. Et oui, des personnes vaccinées sont mortes du COVID – parfois après plusieurs doses.
Ce revirement n’a jamais été assumé. On a simplement déplacé le curseur du discours, en laissant sur le carreau des milliers de victimes collatérales. Et pendant que les plateaux télé déroulaient le tapis rouge à des experts estampillés, les effets indésirables graves étaient sous-déclarés, minimisés, disqualifiés comme relevant de la « coïncidence » ou du « stress post-vaccinal ».
La liste noire de Pfizer : un aveu déguisé ?
Le document récemment publié par Pfizer, sous pression judiciaire, n’est pas une fake news, contrairement à ce qu’ont laissé entendre certains médias. C’est une compilation brute d’effets recensés, sans hiérarchisation, sans analyse de fréquence, mais riche en signaux d’alerte. Le problème ? L’absence d’explication, de mise en contexte, de débat public. Une telle opacité nourrit la méfiance, et à raison.
Dans un monde où le moindre médicament générique est soumis à une analyse coût-bénéfice drastique, comment justifie-t-on l’imposition d’un traitement expérimental à l’échelle planétaire, sans recul suffisant, sans alternative thérapeutique acceptée, et parfois sous contrainte ?
Quand la vérité devient subversive
Poser ces questions, aujourd’hui encore, expose à l’anathème. Le doute n’est plus un moteur de la science, il est devenu un délit idéologique. Ceux qui ont osé interroger le consensus – médecins, chercheurs, journalistes, citoyens – ont été exclus, ridiculisés, muselés. Ce n’est pas de la science. C’est de l’obscurantisme en blouse blanche.
un tournant historique ?
La question n’est plus de savoir si le vaccin a sauvé des vies. Il en a sauvé, sans aucun doute. Mais à quel prix, et avec quelles vérités occultées ? À l’ère de la transparence numérique, la confiance ne se gagne pas à coups d’injonctions sanitaires, mais par la confrontation honnête des faits, y compris les plus dérangeants.
Le document Pfizer n’est pas une preuve définitive. Il est un signal d’alarme, et une invitation pressante à rouvrir un débat que l’on croyait clos. Parce qu’en science, ce qui dérange mérite toujours d’être entendu.
ElloMarie, conscience africaine, analyste politique et contributeur à Akondanews
Akondanews.net