Francis Ngannou : Entre Boxe et Attachement à la Côte d’Ivoire, une Histoire Profonde

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Francis Ngannou, le redoutable « Predator » de la boxe mondiale, dévoile un aspect méconnu de sa vie dans une récente déclaration poignante. « Si je n’avais pas été camerounais, j’aurais été ivoirien, » confie-t-il, révélant une connexion profonde avec la Côte d’Ivoire qui a marqué son parcours depuis l’enfance.

Ngannou remémore ses premiers souvenirs musicaux, évoquant le hit « Zoblazo » de Meiway en 1990, alors qu’il avait à peine 4 ans. Une mélodie qui a apparemment laissé une empreinte indélébile sur le boxeur, l’initiant à l’amour pour la culture ivoirienne. Au fil des années, son intérêt pour la Côte d’Ivoire n’a fait que croître, devenant une part intégrante de sa vie.

« Quand on est patient, Dieu finit toujours par nous offrir le meilleur, » déclare Ngannou, soulignant peut-être la patience qui a caractérisé son parcours jusqu’au sommet de la boxe mondiale. Cette révélation ajoute une dimension humaine à l’image du combattant puissant sur le ring, montrant une personnalité qui transcende les frontières nationales.

Au-delà des cordes du ring, Francis Ngannou continue de tisser des liens avec la Côte d’Ivoire, prouvant que ses racines s’étendent bien au-delà des frontières du Cameroun. Une histoire singulière qui éclaire un peu plus la personnalité complexe de l’athlète qui conquiert le monde, un coup de poing à la fois.

Kakaboara, correspondant à Abidjan

Akondanews.net

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