Des propositions intéressantes du Dr. Claudel Noubissie pour l’Afrique et ses religions dites révélées

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Dans notre réalité africaine, que l’on sillonne les villages, les campagnes ou les villes, l’absence frappante d’institutions éducatives, de structures médicales, d’opportunités professionnelles, contraste avec la profusion de lieux de culte. Clochers, temples et minarets dominent le paysage.

Plus déconcertant encore, ce manque fondamental d’infrastructures essentielles ne semble troubler personne. L’éducation, la santé, et l’emploi passent au second plan, relégués derrière les édifices religieux.

Il est choquant de constater que des Africains, dépourvus de soins médicaux et d’écoles pour leurs enfants, privés des moyens de subvenir aux besoins quotidiens de leurs familles, sont contraints de sacrifier leurs maigres ressources pour financer des édifices religieux ou alimenter des conflits supposément interreligieux.

Il est légitime de se demander : Jusqu’où ira ce continent dans l’absurdité ?

En Afrique noire, les lieux de culte semblent primer, même au détriment de besoins vitaux. Des questions se posent alors :

Quelle serait donc la solution ?

Le Dr. Claudel Noubissie propose d’encourager la création de nouveaux lieux de culte, mais avec une approche différente. Chaque église ou mosquée devrait avoir un huissier de justice et un comptable étatique. Leur rôle serait de collecter l’argent versé par les fidèles et tous les dons faits à l’église.

À la fin de chaque cérémonie religieuse, 20% de ces fonds serviraient à construire de nouvelles églises pour accueillir davantage de fidèles, tandis que 80% serait investi dans la construction de routes, d’écoles, de centres de santé, d’entreprises et d’usines locales, créant ainsi des emplois.

Cette proposition vise à réorienter l’argent collecté dans les églises vers des structures plus utiles au développement des populations. Les pasteurs n’auraient qu’une part modeste, suffisante pour subvenir à leurs besoins essentiels et démontrer ainsi leur engagement envers la simplicité.

En fin de compte, l’argent est un bien terrestre et devrait être utilisé pour le bien-être de la collectivité, conformément aux enseignements religieux prônant l’amour du prochain.

Akondanews.net

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