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La nuit du jeudi 18 janvier 2024 restera gravée dans les mémoires, marquée par une défaite déconcertante de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire à Ébimpé. Cependant, ce n’est pas la défaite elle-même qui a captivé l’attention, mais plutôt la réaction surprenante des supporters, devenue virale sur les réseaux sociaux.
À leur retour de l’expédition décevante à Ébimpé, des supporters, visiblement désillusionnés, ont scandé un cri inhabituel : « On n’a pas gagné, on s’en fout hoo, on n’a pas gagné… » Une première dans les annales du soutien fervent de l’équipe nationale ivoirienne.
Cette réaction inédite a suscité des débats et des interrogations parmi les observateurs sportifs et les fans. Certains ont interprété cette manifestation comme une expression de mécontentement et de frustration face à une performance en deçà des attentes. D’autres ont exprimé leur consternation, considérant que cela représentait un hymne à la médiocrité, une première dans la mémoire collective des Ivoiriens.
La vidéo virale a rapidement attiré l’attention du public, mettant en lumière la profondeur de la déception ressentie par les supporters. La question centrale qui se pose est de savoir si cette réaction est un cri de frustration ponctuel ou le symptôme d’une insatisfaction plus profonde et généralisée à l’égard de l’équipe nationale.
Il est intéressant de noter que des figures bien connues du monde sportif, telles qu’Alexis Gnagno, ont commenté cette réaction sans précédent. Pour certains, cela souligne une nouvelle dynamique dans la relation entre les supporters et l’équipe, avec des implications potentielles pour l’avenir du football ivoirien.
La défaite à Ébimpé a déclenché plus qu’une simple remise en question des performances sportives. Elle a mis en lumière une fracture émotionnelle entre l’équipe et ses partisans, révélant un besoin urgent de restaurer la confiance et l’enthousiasme au sein de la communauté sportive ivoirienne. Les prochains développements dans cette histoire fascinante du football national seront suivis de près.
Kouachiada, envoyé spécial
Akondanews.net